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Accélération des procédures judiciaires : L’œuvre de J.C Awalla Wodogue appréciée

Si l’actualité au Cameroun reste encore dominée par des mutineries dans certaines prisons camerounaises, une situation qui a abouti à des procès en sorcellerie contre Laurent Esso, ministre de la justice garde des sceaux, pour entretien des lenteurs procédurales judiciaires, il reste que cette assertion ne soit pas vraie dans la plupart des cas. Car dans le monde judico-judiciaire camerounais, il y a des commis de l’Etat qui œuvre véritablement à ce que les procédures soient accélérées. C’est le cas de Jean Claude Awalla Wodogue, procureur général près la Cour d’Appel du Littoral qui, s’il n’est pas seul, ne ménage aucun effort pour que les orientations données par la hiérarchie soient respectées. Aussi de quelque manière que ce soit, il n’a manqué l’occasion pour le signifier à ses collaborateurs et collègues du corps judiciaire. Des exemples pour le prouver, il n’en manque pas. On se souvient encore des idées émises lors de la descente du Ministre d’Etat, ministre de la justice, garde des sceaux à Douala dans le cadre d’une visite de travail portant sur l’état d’avancement des travaux du complexe moderne des services judiciaires du littoral. Au regard du travail abattu, une corporation de journaliste lui a d’ailleurs attribué un prix d’excellence.

Même lorsqu’il s’agit de participer à la formation des auxiliaires de justice, le procureur général près la Cour d’appel du Littoral n’hésite pas de mettre la main à la pâte. Il a notamment contribué à la formation des médiateurs certifiés hautement qualifiés et de calibre international en vue d’accroître l’accessibilité à la justice, notamment au sein des pays membres du traité de l’Ohada.

D’une manière générale, Jean Claude Awala, est de ceux qui pensent à rendre justice de manière équitable en dépit de la froideur de la loi. Laquelle doit être appliquée. Il appartient surtout à cette classe de commis de la Nation qui, avec abnégation, servent leur pays, se référant certainement aux paroles du chant de ralliement, O! Cameroun, berceau de nos ancêtres dans sa deuxième strophe qui indique que tous les camerounais doivent travailler pour rendre prospère leur pays. En matière de justice, l’on peut sans ambages affirmer qu’il le fait et surtout qu’il le fait bien.

 

BALEBNA.P

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