Le mode et la vision qu’il implémente au sein du secteur des Douanes Sud 2 depuis qu’il y a été nommé, participent du rayonnement et de l’appréciation positive des usagers des services rendus par cette administration du ministère des finances. Lorsqu’il s’agit d’évoquer le phénomène de corruption au sein de la société camerounaise, certaines administrations sont toujours mises à l’index à tort ou à raison. Si dans certaines circonstances, les faits semblent être fondés, dans d’autres, cet adage Bantou qui stipule qu’une « seule dent cariée a suffi à pourrir toute la bouche » s’applique malheureusement. Le fait est très récurrent dans les services des Douanes où dans l’imagerie populaire, on s’accorde à dire que le fléau relevant de la corruption y est rampant et qu’il serait impossible de l’éradiquer. Et pourtant, et à moins qu’on ne soit de mauvaise foi, un autre son de cloche est donnée au secteur des Douanes Sud 2 où le chef secteur Norbert BELINGA, travaille durement pour rendre non seulement service aux usagers, mais aussi et surtout pour l’avancement économique du Cameroun.
Comme stratégies principales pour atteindre ces résultats escomptés, le Chef secteur des douanes Sud 2 met un accent sur l’encadrement des personnels, l’assainissement des rapports entre le service des douanes et le milieu des affaires, l’implémentation des règles d’éthiques et la lutte contre la corruption. Il insiste sur le respect du cadre légal et l’application efficiente de la réglementation douanière, la qualité de l’instruction des dossiers et des arbitrages, l’implémentation courageuse de la loi et de la réglementation, la communication et la sensibilisation.
Par ce fait Norbert Belinga fait véritablement bouger les lignes au sens vrai du terme en travaillant pour rendre prospère le Cameroun et en même temps qu’il essaie d’inculquer cette vision à l’ensemble de ses collaborateurs. Suffisant donc pour comprendre les motivations qui poussent l’homme résolu à apporter sa pierre à la construction de l’édifice Cameroun et à œuvrer pour son émergence à l’horizon 2035.
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