Alors que l’institution n’accumule qu’un an d’existence après sa mutation en banque universelle, les résultats qui y sont engrangés plaident pour une plus grande confiance à lui faire.
Alors que l’institution n’accumule qu’un an d’existence après sa mutation en banque universelle, les résultats qui y sont engrangés plaident pour une plus grande confiance à lui faire.
C’est vrai qu’il y a des signes qui ne trompent pas. C’est aussi vrai que la valeur n’attend pas le nombre des années. Seulement un an après sa mutation en banque, le Crédit Communautaire d’Afrique (Cca) l’a prouvé et ses dépôts augmenter de 20 % passant de plus de 174,3 milliards de Fcfa en mai 2018, à 209,3 milliards de Fcfa à fin mai 2019. La même tendance a aussi été observée en ce qui est des crédits. Lesquels ont enregistré une progression de 35 % sur la même période, passant de 79,5 à 107,3 milliards de Fcfa.
Le Cca placé sous la direction d’Albert Nkemla, au regard de ces statistiques, démontre qu’il est toujours à la recherche de la performance. Une performance qui indique que la Commission bancaire d’Afrique centrale (Cobac) et le ministère des finances du Cameroun ne s’étaient pas trompé en décidant de cette mutation qui, aujourd’hui, est source de grande satisfaction pour toute sa clientèle et des institutions de tutelle. Aussi le Cca a axé son action sur la collecte de l’épargne, l’octroi de crédit, à l’offre et à la gestion des moyens de paiement dans le cadre d’une relation privilégiée avec sa clientèle, constituée essentiellement de l’Etat, des particuliers, des industries, des Pme/Pmi, des Grandes entreprises. La structure mérite donc autant des encouragements que de la confiance de toutes les classes sociétales camerounaises.
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