« Aux grands hommes, la patrie reconnaissante ». L’expression qui est connue de tous a d’autant plus d’allant quand une unanimité s’établit aussi autour d’une reconnaissance et d’un mérite attribué à un citoyen. Dans ce cadre et au titre de la 48ème édition de la fête nationale de l’unité, Lucien Tekam, vice-président de la section Rdpc Wouri 3, Directeur général de Camlait (Douala), conformément au décret n°2020/454 du 12 avril 2020 portant promotion ou nomination dans l’Ordre de la valeur au titre de la fête nationale du 20 mai 2020, s’est retrouvé dans cette liste plutôt restreinte. De cette reconnaissance à lui faite par la Patrie, il a été élevé au grade de Commandeur de l’Ordre National de la Valeur par le chef de l’Etat.
Si à ce sujet, mériter une telle confiance du président de la République, chef de l’Etat, transparait comme une consécration à apprécier à sa juste valeur, l’on pourrait bien se demander si cela est méritoire. Certainement que oui au regard des états de service à mettre à l’actif du récipiendaire. Si le terme de Commandeur, avant d’être un grade dans un ordre honorifique pour une distinction ou une décoration, était un état dans les ordres militaires et hospitaliers, une fonction à la tête d’une commanderie, cela était certainement en raison des actes de bravoure qu’un individu aura posé pour sa Nation, son pays. Nous limitant à cette définition, on comprendrait aisément pourquoi la nation a été reconnaissante pour le vice-président de la section du Rassemblement démocratique du peuple camerounais (Rdpc) dans la circonscription politique de Wouri 3. Des précisions pour l’étayer sont légions pour cet homme qui se définit à la fois comme un opérateur économique, comme un opérateur du social et davantage comme un virtuose homme politique. Relativement à ces trois aspects, l’homme n’est d’ailleurs plus à présenter dans la ville de Douala où il est établi. Ses actions et réalisations en faveur des populations de cette circonscription politique, difficilement dénombrables, ont milité et continuent de militer en sa faveur, qu’il s’agisse du domaine politique, social et économique. N’hésitant jamais à se prononcer à chaque fois qu’il a été sollicité, Lucien Tekam a toujours réagi de manière positive et à la limite de ses possibilités. Son altruisme et certainement sa disponibilité à être aux côtés de ses semblables, à servir son pays à quelque degré que ce soit, ont certainement été des facteurs ayant milité en faveur de la reconnaissance à lui faite par l’Etat.
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