Pour la troisième fois consécutive, cet établissement a raflé le premier prix qui a fait en même temps honneur à l’université de Douala et à toute la région du Littoral. L’Institut Universitaire de Technologie de l’Université de Douala a été classé premier établissement d’enseignement supérieur au Cameroun.
«Mesdames et messieurs, nous sommes réunis ici ce jour pour célébrer la science, le savoir et la connaissance. Nous tenons à féliciter les performances de l’IUT de Douala et nous pensons que cette fois-ci, au 3ème sacre consécutif, nous avons le droit de nous réjouir ensemble car c’est toute la région du Littoral qui est honorée à travers l’université de Douala en général et son établissement en particulier », avait alors déclaré Samuel Dieudonné Ivaha Diboua, gouverneur du Littoral à qui ce prix de la gouvernance universitaire des universités d’Etat du Cameroun, édition 2018 avait été présenté il y a quelques temps.
Il faut dire cette récompense de l’avis du ministre d’État, ministre de l’Enseignement supérieur, le Pr Jacques Fame Ndongo, tout en faisant appel à plus de dynamisme dans le domaine de l’innovation universitaire, avait été accompagné d’une enveloppe de 150 millions Fcfa, question de mettre en compétition tous les établissements des universités d’Etat. Ceci afin de répondre à un « impératif catégorique » prôné par les pouvoirs publics, selon le Pr François-Xavier Etoa, recteur de l’université de Douala : la modernisation des offres de formation, des pratiques d’enseignement et des modes de gouvernance. Un impératif lié à la professionnalisation des enseignements, important pour le développement et la croissance économique du Cameroun.
Le Pr Jacques ETAME, Directeur de l’établissement a salué la compétence et l’esprit d’équipe qui anime au quotidien ses collaborateurs dans le cadre de cette 3ème distinction consécutive. L’Institut Universitaire de Technologie est aujourd’hui engagé dans un certain nombre projets visant à apporter son expertise à des entreprises du secteur privé mais aussi à certaines administrations publiques.
BALEBNA PETER
Laisser un commentaire