En sa qualité de notable de Ndogsimbi, une chefferie du canton Bassa, sa présence, son point de vue, son implication dans ce groupe anthropologique, ont toujours été d’une importance incommensurable qui démontre de sa parfaite intégration au sein de la communauté Bassa à laquelle il appartient.
Cette reconnaissance traditionnelle de la chefferie de 3ème degré de Ndogsimbi est le fruit de son soutien multiforme à la chefferie supérieure, de son implication au développement dudit village et à sa contribution pour l’amélioration des conditions de vie des populations. Aucun doute ne serait donc plus à émettre au sujet de la parfaite intégration de ce camerounais qui, manifestement, veut participer au développement de son pays à quelque niveau que ce soit.
Aussi, n’est pas à considérer comme une flagornerie le fait que Richard Mfeungwang, chef de l’exécutif communal de la commune d’arrondissement de Douala 5ème l’appelle « frère Ibrahim Hoballah », tout comme le fait pour lui souligner qu’il a inscrit son nom en lettre d’or dans les annales de la mairie de Douala 5ème. Notable de Ndogsimbi dans l’arrondissement de Douala 3ème, c’est tout dire. Frère Ibrahim Hoballah est la personnification même de l’intégration nationale dont parle le Chef de l’Etat et qui appelle tout citoyen camerounais à se sentir chez lui partout sur toute l’étendue du territoire national.
Si le fait pour lui d’avoir acquis la confiance des anciens et être élevé à la dignité de Notable dans le canton Bassa de Douala et spécifiquement à la chefferie de 3ème degré de Ndogsimbi, ne relèverait donc pas du hasard. Elle tiendrait beaucoup plus de la notoriété qui est la sienne au sein de sa communauté. Ibrahim Hoballah n’hésite d’ailleurs jamais à s’impliquer de manière constante et pérenne dans les actions de développement et d’amélioration des conditions de vie des populations. S’il ne le fait pas de manière personnelle et physique, c’est à travers les entreprises qu’il a mises sur pied et qui emploient un peu plus de 4000 de ses concitoyens ? Son entrée dans la notabilité de la chefferie de Ndogsimbi est d’autant plus justifiée qu’ayant été accueilli comme fils dans cette chefferie, il s’est immédiatement fondu au sein de sa communauté et surtout, s’est montré digne de la confiance qui lui a été faite. Opérateur économique, il n’a d’ailleurs jamais hésité à s’impliquer dans des actions de développement de son village Ndogsimbi et partant, de son pays. En termes d’octroi d’emplois, s’il a fait la part belle aux jeunes de sa chefferie, il n’a pour autant pas négligé d’autres jeunes venus des quatre coins de la ville et de la République, une attitude qui va en conformité avec la vision nationale qui veut d’ailleurs que les nationaux soient privilégiés dans ces cas pratiques. A Ndogsimbi, la voix d’Ibrahim Hoballah compte. Son soutien aux actions de développement aussi. Ne lui doit-on pas la mise à disposition d’eau potable à travers la construction de plusieurs forages ? Ne lui est-il pas reconnu sa bienfaisance, son soutien aux couches vulnérables de la population ? Si Ndogsimbi en matière de développement, a pris de l’envol, le mérite ne lui reviendrait-il pas aussi quand on sait que la proximité de l’usine SPN y est pour quelque chose pour la fixation des populations dans ce quartier de la ville de Douala ?
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