Parce qu’il a toujours estimé que l’Afrique ne va éternellement continuer à jouer le rôle d’observateur, le chef traditionnel qu’il est, a mis au point une molécule qui a permis de traiter gratuitement et rapidement près d’un milliers de personnes dans la ville de Douala.
Celui qu’on ne présente plus dans les milieux politiques, associatifs et culturels et sportifs dans la ville de Douala a montré une autre facette de lui au moment même où la capitale économique du Cameroun était en passe de devenir l’épicentre de la pandémie du Coronavirus en Afrique centrale.
Il se serait contenté de déplorer la passivité des chercheurs africains qu’on aurait dit qu’il ne sait que « bavarder ». On aurait même mis sous le boisseau tout ce qu’il aura entrepris pour le bien et le bien-être des populations de la ville de Douala en général et celles de la cité des enseignants dont il est le chef. En effet, le lauréat du grand prix découverte Ahmadou Ahidjo en 1977 sur l’invention de la vidéo projection, qui a toujours indiqué qu’il y a très peu de volonté de la part des chercheurs africains alors que la nature a donné au continent, l’homme spirituel, le traditionnaliste et chercheur de la première heure qui a toujours soutenu qu’à l’exemple le Vih/Sida et les hépatites, la recherche africaine peut apporter des solutions conséquentes pour sauver des vies est de ce fait « entré dans son laboratoire » pour murir une idée qui allait faire des merveilles. (Il ne faut pas perdre de vue que le chercheur camerounais a vu plusieurs de ses œuvres spoliées et chèrement placées à l’international quand bien même il aura remporté plusieurs prix). S.M Jean Claude Bizole, en voulant protéger dans un premier temps sa famille contre cette pandémie, a finalement développé une molécule qui, au regard des résultats obtenus, a drainé des foules à son domicile. Plus d’un millier de personnes testées positives dans les hôpitaux conventionnels ont trouvé guérison chez lui.
Pour l’heure, s’il n’a pas voulu présenter sa trouvaille, acceptant seulement de l’administrer aux patients, c’est certainement pour des mesures de protection avant soumission à un brevet pour ce médicament encore en phase d’expérimentation en attendant dit-il « de finaliser toute communication officielle ».
L’homme qui détient le secret de la propreté de la Cité des enseignants serait en passe de devenir un bienfaiteur pour l’humanité toute entière.
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