Actuellement représentant de Jls Africa Sas et de la Société Africaine d’Investissement et de Gestion des Entreprises (Saige), mandataire du gouvernement centrafricain pour la collecte de la commission armatoriale auprès des consignataires, il est surtout le prototype d’un jeune camerounais qui, sans avoir à s’expatrier, démontre qu’il est possible pour un jeune, de pouvoir émerger par la force de son travail.
S’il se démarque par son physique, Farel NKEN fait partie de ces jeunes qui ont su creuser leur sillon dans la perspective de faire une place au soleil. S’il n’est point besoin de revenir sur son parcours scolaire et universitaire, on note au premier chef qu’il est parfaitement bilingue, manipulant aussi bien le français comme l’anglais. Attitude qui fait de lui un bon camerounais quand on sait que le Cameroun est bilingue. Mais dans ses débuts, alors qu’il résidait dans la ville de Nkongsamba, département du Moungo, région du Littoral, il s’est fait remarquer comme reporter journaliste dans divers supports médiatiques où justement, il se particularisait par sa capacité à produire des articles autant en français qu’en anglais. Un atout qui lui procurait une certaine notoriété vis-à-vis des autorités.
Animé par une volonté à vouloir se faire entendre, à participer au développement, à la construction de l’édifice national, il adhérera au Rassemblement Démocratique du Peuple Camerounais (Rdpc) dans la section Moungo Nord 1. Au regard de son militantisme à la base et à la considération de sa présence et surtout de son activité parmi les jeunes, confiance lui sera faite par ses camarades qui l’éliront comme président de section Ojrdpc au lendemain des opérations de renouvellement des organes de base du parti de 2011.
Très attentifs et réceptifs aux conseils à lui donnés par ses aînés et respectueux de la discipline du parti, il n’hésite pas à oser les mettre en pratique. C’est assurément suite à ces conseils qu’il présentera sa candidature aux municipales de 2020 au terme desquelles il sera élu comme conseiller de la Commune d’Arrondissement de Nkongsamba 1er dont la mandature est en cours.
Pour autant, le jeune Farel NKEN , n’a pas relégué en arrière-plan ce métier de journaliste qu’il a toujours affectionné. Ainsi mettra-t-il en place une tribune (tabloïd) qu’il baptisera « Afrique Libre », un hebdomadaire d’information et d’analyse à travers lequel il marquera sa détermination à soutenir toutes les actions de développement entreprises par des camerounais au patriotisme avéré sans verser dans la flagornerie. Et pour ne pas faire les choses à moitié, il mettra en place une structure de communication : la Procomm& Tech Sarl éditrice d’Afrique Libre et Afrique Libre magazine. C’est d’ailleurs cette dernière trouvaille qui lui ouvrira les portes à l’international. Notamment au Tchad, au Niger, en Côte d’Ivoire et naturellement en République centrafricaine.
Aujourd’hui Farel NKEN, est toujours en quête du savoir. Malgré son emploi du temps très chargé, il se prépare pour un master et prévoit poursuivre ses études en Doctorat en Relations Internationales. Le gouvernement camerounais a sollicité à plusieurs reprises ce plus jeune Conseiller Municipal pour son expertise dans le prélèvement de la redevance auprès des navires.. En tant que jeune entrepreneur multicartes, Farel NKEN vient d’ailleurs de lancer une start-up dénommée YOUGO, dont le but est de faciliter la vie aux camerounais et étrangers qui souhaitent commander un taxi en ligne.
Fort de ces performances managériales, Farel NKEN a reçu le Prix d’Excellence Africaine du Dynamisme et de l’Innovation. Cette distinction lui a été décernée le 03 juillet 2024 par ALI MAHAMAT, le Président du Jury de la Convention Panafricaine des Médias (CPM). Le lauréat a reçu une mention très honorable du jury lors du dépouillement des nominés à Antananarivo la capitale de la grande île de Madagascar. Dynamisme, patriotisme, loyalisme sont les atouts qui auront contribué au choix du jeune entrepreneur camerounais. Créée en 2015, de la volonté d’une centaine d’organes de presse du continent africain, la Convention Panafricaine des Médias a pour but fondamental, la promotion de l’image de marque du berceau de l’humanité.
Si pour certains, cette percée peut être considérée comme étant un aboutissement, Farel NKEN PEFAKUE estime par contre qu’il a encore beaucoup à donner pour son pays. Pour cela, il ne ménagera aucun effort et surtout ne dormira pas sur ses lauriers tant qu’il bénéficiera encore du souffle du Très Haut. Un bel exemple pour la jeunesse camerounaise.
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