Il a officiellement pris les rênes de ce grand village le 14 janvier 2021. C’était en présence de Christophe Fofie Mbouedia, sous-préfet de l’arrondissement de Douala 1er, du représentant du maire de la commune d’arrondissement de Douala 1er et de nombreux autres invités de marque parmi lesquels des officiers supérieurs de l’armée et de la gendarmerie.
Les cérémonies d’installation au trône dans les chefferies traditionnelles se suivent et ne se ressemblent pas. On peut dire ainsi de celle au cours de laquelle, S.M David Edoube Dikotto Mpondo a officiellement pris les commandes du village de Bonamouang à Douala. Si le cérémonial propre à ce genre de cérémonie a été en tout point respecté, si malgré la consigne du respect des mesures barrières contre le coronavirus, ont été prises en compte, on a tout de même noté une affluence des grands jours au cours de cet évènement qui a été qualifié d’exceptionnel. Tant le comité d’organisation a mis les petits plats dans les grands pour un résultat tel celui que les convives auront vécu le 12 janvier dernier. A la minute près et comme sur un papier de musique, le timing a été respecté au point où certains y ont vu la rigueur militaire à laquelle S.M David Edoube Dikotto Mpondo a été habituée.
Et quand le sous-préfet prononcera la phrase rituelle : « vous reconnaitrez désormais comme votre chef de 3ème degré du village de Bonamouang, S.M David Edoube Dikotto Mpondo » la liesse qui frôlait l’hystérie, était à son comble.
Au regard d’un tel engouement et à la considération des recommandations à lui faites par le Sous-préfet ce jour, S.M David Edoube Dikotto Mpondo a promis d’être un chef exemplaire qui aura pour point de mire de son action, le développement et la modernisation du village de Bonamouang. Certainement que l’aspect managérial que le caractérise dans la gestion de l’entreprise dont il est le fondateur, à savoir Edim Sarl, et qui excelle dans les Btp, donc se rapportant à la construction, l’y aiderait dans la modernisation de ce village qui, malgré qu’il soit au cœur de la ville de Douala, manque encore de certaines infrastructures de base. On attend donc de voir ce qu’il en sera tout au long de son règne.
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